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Par dominiqueOriata TRON le 15 Janvier 2021 à 06:33
LA VIE REELLE AVEC TOI MON APSARA
Nanihi mon épouse vraie
tu es venue maintes fois me trouver
à travers des chercheuses de vie
hélas finalement rebelles
à ton envol qui les avait
dépannées
Aussi c'est moi qui désormais
te rejoins dans le ciel infini
tu es lumière dans la nuit
et les mortels ensorcelés
par la diablerie de la chute
imaginent que tu n'es qu'un rêve
comparé à leurs pierreries
Aux singes à peine sapiens
il faudra d'innombrables vies
pour apprendre vraiment des anges
alors des ma jeunesse éternelle
en dépit de mon chariot d'os
je t'accueille et nous dansons ensemble
invisible, heureusement ,aux jaloux
et aux sabreurs de paradis
enivrés de leur rage tueuse
L'amour dégagé de sa gangue
d'araignée, de chacal ou de hyène
est refuge dans la vraie vie
Pétale de la Fleur Divine
qui jamais ne trahit, pas comme
les prédateurs incarnés oublieux
prenant leur char pour leur âme
L'amour et la chance version zombi,
qu'il s'y damnent quand cela leur plait
leurs yeux se sont crevés à force
d'ingénue sorcellerie, soyons
mon amour invisible à leur chasse
et que j'accueille ta présence.
Ainsi en moi s'unissent par aimantation
'Oriata et Nanihi comme la Terre au Ciel
et dans l'Akasha te voilà nentière
sous la houlette du vrai Agastya
Qui jadis m'expliqua la méthode !
Oh je fus long à ne plus tenter
de la mêler aux séductions mortelles
un pas en avant, dix en arrière
O mon amour écoutons le maître
il nous hisse sans retour enfin
sur l'échelle Divine d'amour parfait
(Opus 1574 d'Oriata, poème du 14 janvier 2021, en relation avec l'opus 1571 dansé et musiké titré : Communion avec l'apsara Nanihi
https://youtu.be/1vGbpMfhBuQ
)
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Par dominiqueOriata TRON le 17 Novembre 2015 à 05:02
Ce poème a été dit par Sham Rouh (Marc Olivier Bonvalot) sur sa chaine Youtube accessible via
https://www.youtube.com/playlist?list=PL5CnNdqz4IvwnhWRqiziUNrKSKI6nLHFz
*
Taaroa était Lumière
Lumière d'Amour
Lumière qui donne sa vie
Et tous ses rayons étaient libres comme lui
et prenaient les formes dont ils rêvaient
Forme de père ou de mère
mais parfois oubliant l'unité qui fertilisait leur différence
puis se trouvant perdus , aveugles
ces formes tentaient de remonter à leur source
afin que toute nouvelle étoile ou planète ait un sens.
Mais dans le vide infini, certains rayons se voyaient Démiurges, Dieux créateurs.
Construits dans la Lumière de Taaroa ils se proclamaient Taaroa
ou son messager, ainsi apparut l'homme au milieu des arbres
L'homme ambitieux que les oiseaux fuient
L'homme et la femme qui se croient supérieurs à la tourterelle
et propriétaire de la chair des vaches et des antilopes.
Pour avoir entrainé par la terreur leurs tribus vers les oeuvres de mort et d'illusion
termites et singes se virent enchainés à leurs instincts
Les enfants se réveillaient en pleurant, nostalgiques de l'Union à Taaroa
mais c'était là pour eux un paradis perdu n'existant que dans les rêves
Ce que les fourmis appelaient Dieu était un vampire à leur propre image
et la frustration posséda des populations de bêtes presqu'aveugles
Elles étaient pourtant faites de la Lumière de Taaroa
mais en décentrant leur conscience elles avaient perdu leur félicité
Elles étaient dans la religion des formes
et dédaignaient de faire danser leurs formes hors des regards de leurs semblables
Alors mème riches de terre, de technologie
les âmes souffraient et faisaient souffrir leurs semblables
elles étaient en fait des graines d'étoiles
mais pour germer elles devaient porter en elle Paix et Amour de Taaroa
en dépit des guerres , des mensonges , des pièges
Il ne fallait pas se tromper de règle du jeu
Même le sens des mots Réel, Amour, Dieu était faussé par les priorités de l'égo
Les messages venus du Ciel était aussitôt dénaturés par les perceptions des bêtes
Le bien était partout visible mais avec l'oeil du Mal
les montagnes verdoyantes restaient sentinelles avec leurs arbres presque tous sages
mais les puissants dans les termitières ne lisaient plus le langage des vagues et des nuages
J'étais Dominique dans ce désastre , et un rayon me dit un jour
je suis Justice et lorsque tu entends ma voix
N'oublie pas que c'est ton mental qui parle.
Pourtant l'énergie de ton écoute et de la mienne à ton égard
sont Taaroa
Vois les 27 couleurs du diamant de ton incarnation
Elles sont là pour déjouer les ombres et accueillir les anges
Car eux par ces couleurs deviennent audibles
tandis que les mauvais esprits ont peur de s'y dissoudre
si tu les charges des vertus de Taaroa.
Le temps de la proclamation du paradis est accessible à chaque être humain
mais même affiché il est dédaigné par la folie des égos
Sache gravir l'échelle de Lumière sans te retourner
car tout être qui souhaitera la gravir trouvera lui même ta trace sur Internet
Tu as cherché, et tu as vu
que la graine , si elle veut devenir fleur , doit renoncer un temps à sa forme de graine
et elle ensemencera la Terre avec la logique de son chemin
Le chemin est libre au départ, mais l'erreur enferme dans des formes
L'illusion est de croire que la félicité peut être éternelle dans les formes
Voilà pourquoi les plaintes ne finissent jamais sous le gouvernement des égos
Chaque créature voit le monde selon ses capacités
ainsi plusieurs univers cohabitent en paix ou en guerre
parfois visibles, parfois invisibles ou transparents
et ce n'est pas au manguier de supplier le marchand de mangues
Il y a le malheur organisé dans les armées d'insectes, de singes ou d'esprits
Et le rayonnement au delà du temps dans le coeur de Lumière de Taaroa
Il peut tout devenir , oiseau , vague, nuage, soleil
Pourvu que les créatures s'abandonnent à lui
et renoncent aux richesses des égos diaboliques et de leurs spéculations
Le propriétaire d'esclaves est prisonnier de la souffrance du non être
Il peut sucer le sang de mille créatures , son malheur ne cesse pas durablement
S'il s'entête dans ses conceptions erronnées, sa vie est mort,
sa richesse est misère, son plaisir est soif
Evades toi en sacrifiant la jalousie que tu nourris à son égard
Brises tes chaìnes et prend le tyran à son propre piège
le tyran qui était en toi, il est dans ton enfant, dans ta compagne, dans tes amis
Mais à chacun de transmuter la malédiction de l'égo
tu ne peux manger à la place d'autrui
tu ne peux aimer à la place de qui te hais
deviens étoile et que ton égo trouve sa Liberté
Dans les billions de têtes de l'Oiseau Taaroa
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Par dominiqueOriata TRON le 22 Mai 2014 à 18:09
Le poème tel que dans la version 2 de ''Naìtre à la danse cosmique'' .
Photographie prise par Vidyavrata en 1977 où avait été écrite la première version , alors que cette année là Christine s'était jointe à mes animations de la Râs Lila de Sri Khrisna sous ce banyan :
Photographie de 1976 , avec D.O.Tron et deux de ses élèves de Jannagah et Chinnapen :
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