• Chez les machistes forcenés  on juge les femmes violées.

    On les punit car on les estime coupables de leur propre viol.

    Ces abus se font sous le couvert de la religion et de la morale. 

    Dans d'autres contrées  on trouve aussi des femmes fanatiques 

    Elles lancent des fatwas mensongères pour discréditer des hommes innocents

    Elles se liguent autour de calomnies dont elles ne vérifient pas la véracité

    Ainsi je fus présenté plusieurs fois comme une menace contre la civilisation

    par des accusations à la radio ou sur internet.

    Le pire est que les fanatiques machistes ou antimachistes

    sont généralement convaincus de leurs propres justifications.

    Rien ne sert de tenter de briser leur hypnose

    ces gens accroissent leur virulence, seul leur excès les déconsidèrent

    lorsque la population est sereine dans une société plurielle

    où chaque état d'esprit est éduqué à respecté celui de l'autre.

    Certes l'erreur existe, mais elle n'est pas le mensonge.

    La tentation existe, mais elle n'est pas la tricherie.

    Chacun est présumé innocent lorsqu'on ne peut prouver le contraire

    Hélas même des soi disants adeptes des droits humains 

    tentent de manipuler le droit et la morale sur la base de faux témoignages .

    Les vraies superstitions des gens ne sont pas toujours leurs professions de foi.

    On peut clamer être chrétien, hindou ou athée et en fait vénérer des addictions 

    mortifères pour soi et autrui et prendre en otage  les enfants.

    L'espèce humaine a distribué des ròles d'illusion par la menace des privations,

    la peur de l'ostracisme et de là , en dépit des progrès qui pourraient la libérer

    elle aggrave les circonstances d'une société absurde de contrôle.

    il y a tant d'abus, de malhonnêtetés, de vilénies d'égo et d'orgueil

    que chaque jour on accroit les textes de lois pour éviter le chaos.

    Hélas les bandits qui se voient défenseurs du peuple et de l'identité

    s'emparent des postes de préservation de la paix pour exercer leur terreur

    et la société est la proie d'une équation insoluble

    du fait que les paroles les plus clairvoyantes sont accompagnées d'actes anthropophages.

    Les identités culturelles sont alors sacralisées pour étouffer les droits individuels

    au profit de délégués élus par personne

    et qui ont instauré des tribunaux pour les moeurs.

    Cette dérive est observable chez des imposteurs de toutes couleurs de peau.

    Certains défilent contre la corruption pour masquer la leur.

    Ils s'attaquent à l'harmonie de la nature  mais  s'affichent donneurs de leçons.

    L'ignorant détient toujours les réponses définitives, ce sont ses intuitions

    tandis que le chercheur hésite et cherche encore dans la direction du dialogue.

    Mais lorsques bêtes féroces et robots ont réussi à imposer leur règle du jeu

    les disciples de l'amour et de la paix doivent se plier à leur terreur pour survivre

    et ainsi siècle après siècle singes et termites  empoisonnent l'atmosphère

    et si les tourterelles et les colibris semblent pouvoir échapper aux filets

    c'est grâce à leurs ailes et leur discrétion au dessus ou à côté des faux champs de bataille.

    Les vraies vertus et les vrais dispositifs de justice sont calomniés 

    par ceux qui ont monopolisé les tribunes en s'enveloppant dans ces drapeaux

    Il y a des exceptions mais sans réel accès aux grands médias

    car ceux ci sont au service des apparences vénérées massivement

    tellement il est plus facile de paraître que d'ètre et de devenir

    sauf à se détourner des miroirs consuméristes de  l'identité humaine 


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  • Je ne pensais pas  pouvoir convaincre

    ceux qui avaient pris refuge dans les rôles

     identitaires de la termitière

    tous les métiers y étaient représentés,

    chacun programmé avec une ou plusieurs marionnettes pour se justifier.

    Pourtant ils étaient mes frères , comme les arbres et les lézards

    une face de machine et une face humaine 

    une face humaine lorsque la vigilance des vertus prime 

    sur les automatismes de la conscience programmés.

     

     

    Néammoins ils étaient plutòt payés pour orchestrer

     la distribution du monde selon les puissances régnantes

    Ils se présentaient même  comme des délégués divins de Taaroa

    En fait, ils vivaient presque toujours décentrés de l'Oiseau galactique

    et l'homo sapiens qu'ils  sacralisaient 

    avait perdu le savoir de la Vie sans Mort

    et ceux qui se faisaient passer pour des hommes

    avaient étouffé en chacun des survivants

     l'Adam véritable et lumineux

     

    Cette rumination du 15 octobre 2015 a été amorcée par un texte que j'ai  publié début 1968 aux Editions Seghers, page 9 du recueil de ''La souffrance est inutile'', reproduit ci dessous :

     

    Rumination du 15 Octobre 2015

     

    Il s'agit de la  dédicace faite à un ami peintre Bernard Kagane. Mais avant de lui rendre cet hommage, j'exprime d'abord mon scepticisme à l'égard de l'écoute de plusieurs catégories de population. A vrai dire, il ne s'agit pas d'une liste restrictive, qui supposerait que  je me sente compris par des ouvriers, des paysans, des pêcheurs....Si je parle de médecins , de professeurs, d'étudiants, c'est qu'à priori ces personnes sembleraient être spontanément réceptifs à mes préoccupations ...certains certainement l'ont été, mais là je les associe à des policiers, c'est à dire à des personnes dont le rôle serait de perpétuer un contrôle social, de marquer des limites à l'étendue du possible des initiatives humaines, bref de définir et de faire respecter la normalité de ce qui est considéré comme honnête , légitime et sain, les divergences étant perçues comme une aptitude à la folie ou à la délinquance. Si j'inclus dans cette liste les étudiants, c'est qu'alors moi-même je suis étudiant, et même si ce statut n'implique pas de pouvoir, je vois qu'à travers les études ce qui est recherché par la plupart, c'est la voie d'accès à un rôle dans la société. L'amour de la connaissance pour elle même est certes une valeur humaniste enseignée à tout aspirant à des activités nécessitant une responsabilité éthique et non purement mécanique. Mais dans les faits les aspirations des étudiants me paraissaient majoritairement opportuniste. Dans toute société, on observe une adhésion spontanée aux valeurs établies, qu'elles soient sensées ou non, et celui qui veut s'intégrer à une fonction offerte par cette société  a tendance à se conformer à ce qui lui vaudra une approbation. Moi mème , pour ne pas  me retrouver marginalisé dans un environnement psychiatrique, j'avais appris à répondre aux tests d'une façon rassurante, mais bien sûr si je m'exprime librement dans un ouvrage, mon but n'est pas promotionnel, les tests et les examens y suffisent, il est plutôt d'y voir clair et de communiquer sans automatismes. Je compare à des automates les personnes tenant les rôles cités ci dessus, avec une restriction, car je me méfie des schématisations hâtives , et je sais  aussi que même si la société est en partie balisée par des valeurs erronnées ou perverties, chacun des protagonaistes humains porte en lui autre chose qu'un robot dénué de sensibilité. Ce qui est paradoxal c'est que j'inclus les artistes dans ma liste de rôles à pauvre écoute. Pourtant à cette époque là j'avais un succès certain dans le monde artistique parisien. Mais il s'agissait plutôt d'un effet de mode, comme il s'en produit lorsque des personnalités influentes du monde de la culture crient au génie pour faciliter l'existence d'un jeune artiste adopté. Beaucoup répète en écho le dithyrambe, mais ce sont souvent les mêmes qui jaloux , dévaluent par ailleurs le concurrent. ainsi le monde artistique me semblait saturé d'arriviste, je veux dire de jeunes gens ''bien nés'' à qui les poisitions financières et mondaines familiales font espérer devenir des artistes reconnus, ceux qui ne peuvent se maintenir dans les cercles de décisions culturelles se trouvant rejetés dans le rôle d'amateurs, de cireurs de bottes  et autres fonctions alimentaires. Bref , les artistes  rencontrés à Paris me paraissaient tellement assoiffés d'approbation, que je ne pouvais les distinguer des aspirants aux rôles professoraux, ils étaient même plus dépendant car il ne leur suffirait pas de donner le change aux examents, ils étaient contraints de sacrifier sans relâche, à cause de la fragilité des engouements ,aux bien-pensances  conformistes et anticonformistes. Ainsi dans les diverses sociétés la perception du monde est généralement limitée à ce qui fait consensus dans les hiérarchies. Des eskimos apprennent à voir de nombreuses nuances entre le bleu et le blanc en utilisant des mots spécifiques intraduisibles pour les distinguer, et les églises amérindiennes du peyolt  se perçoivent à leur façon  chamaniques ou chrétiennes . Chaque société d'insectes a ses propres schémas totalitaires sacralisés ou des parts d'autonomie accordées aux couples ou individus qui la composent. Ainsi les catégories sociales que j'avais citées tissaient des repères pour leur société, et savaient faire peur, que ce soit par la sanction policière, le constat du hors sujet par l'intellectuel  ou le ricanement de l'artiste mondain. Mais alors quelle est cette voix qui crie comme poignardée sur un mur qu'elle a été massacrée par l'homme ? on peut concéder qu'en chaque créature humaine mécanisée par un rôle vécu de façon caricaturalement instinctive subsiste une part d'humanité, mais comme la définition même de l'humanité est du ressort des ''fantoches'', ceux ci se permettent, sans s'en apercevoir, d'assassiner les germes évolutifs de leurs congénères en même temps que leurs tentations régressives. Les affirmations de Galilée sont taxées de signes d'orgueil par les inquisiteurs qui ont , eux réputations d'émissaires humbles de Dieu. ce sont eux qui définissent l'hérésie alors qu'ils sont l'expression même de l'hérésie à la Conscience cosmique, puisque pour avoir accès aux lois de l'Univers , ce sont leurs codes, leurs testes sacrés et leurs moeurs qui font autorité. Projection des limites humaines de leurs perceptions  sur l'identité même du cosmos, et stigmqatisation des investigations scientifiques de la vie intérieure et extérieures, qui doivent se résigner àq la clandestinité , et à l'absence de communication, ou plutôt à une communication qui ne laisse pas de place aux intuitions d'une guérison de la condition humaine incarnée .

     


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  •  

    Dans les mondes où les accusations sont prises pour des preuves

    la vie est bombardée par l'injustice et l'absurdité.

    Et lorsque pour les piratages les gestations sont dissimulées 

    l'erreur s'affiche véridique au point  que l'oxygène manque.

    Les aigles obtiennent le respect des àmes rapaces

    mais le colibri accède au nectar, et la tourterelle à l'amour.

    Oriata, endure la calomnie et la folie des égos destructeurs

    qui sont seulement des contre-exemples à la conscience et l'harmonie,

    des panneaux pour te prévenir de ne pas avancer les yeux bandés selon leurs moeurs

    ni prendre pour  trésors les armes et les parures, en or métal ou faux semblants.

    Faux témoignages, faux yogas, faux amis, fausses démocraties,

    le décor est au mains de sexes spécialistes, mais les miroirs 

    et télés accrochés en dépit des précautions élémentaires

    peuvent à l'occasion d' un faux pas briser le crâne des enfants sacrifiés


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  • Babylone , voilà mon ami comment tu appelles 

    cette hydre de splendeur trompeuse mortifère et mortelle

    ce labyrinthe de béton où sont cloitrés les troupeaux humains

    avec ses prêtresses  qui ont fait du sexe une arme de conquête

    tout comme les mâles faux prophètes champions des bras de fer.

     

    Milliards de femmes et hommes  soumis à l'hypnose des richesses vampires.

    S'ils se révoltent, c'est que leur part du butin planétaire est trop maigre

    Et pour les illusoires colifichets des boutiques la famine gagne du terrain,

    le désespoir triomphe à coup de bombes , la terreur

    s'est fait un visage souriant, c'est le nouvel ordre du monde 

    avec ses boucs émissaires dont le regard fait fuir

    tant chacun sait qu'il pourra lui même être damné dans la géhenne.

     

    Babylone. 'A hio te mafatu o te maramama , regarde le coeur de la Lumière

    Et cesse d'imposer tes livres sacrés à la `paresse des consciences.

    Lassitude des rideaux de fer, à l'ombre desquels

    même les murmures plaintifs sont taxés de complots terroristes.

    La souffrance est une insulte à l'hydre qui dévaste la planète:

    où fuir , sinon dans une vraie fraternité qui renverse les idoles

    et défait les chaînes des plaisirs et des frustrations.

    Mais seul est disponible le simulacre de la préhumanité et de ses incivilités.

     

    Nous avons été ces enfants otages des caprices de leurs géniteurs écervelés

    et maintenant nous devrions les intégrer aux angoisses réglementaires ?

    Je n'ignore pas  qu'il est vain d'envoyer des messages aux robots humains

    Ils méprisent tout ce qui n'est pas discours sommaire, caricatural,

    pour eux sont bavardages même les témoignages véridiques

    Ils ont des prêches  pour soigner des blessures avec des mensonges

    propos sans fondement  qui les ventriloquent 

    dans la fatalité de leurs propres malheurs.

     

    Babylone, je n'avais pas le coeur de chanter

    sous tes bombardements préventifs,

    mais quel autre refuge nous laisses tu pour prendre nos distances ?

    Tu cadenasses les malentendus , tu brises les amants,

     tu fusilles  les libertés que tu prétends défendre

    tu insinues tes menaces dans  la vie quotidienne des enfants

    afin qu'ils grandissent sous la forme de serviteurs fanatiques et fidèles.

    A eux les récompenses du  pouvoir, au compte goutte,

    à eux les droits de peser les mots, d'accréditer les superstitions

    de trafiquer avec les arguments d'autorité de l'athéisme ou de la religion.

     

    Babylone, aveugle à la matière cosmique , aux trous noirs de la Création

    Tu cherches un monde habité au delà de Pluton

    ou dans les grottes préhistoriques  et pour t'emparer de l'histoire

    tu veux contrôler toutes nos actions sauf celles de ta prédation.

    Tu as transformé les bêtes sauvages en machines amères

    et c'est là l'alpha et l'oméga de ton rêve sur cette Terre.

     

    Ceux qui s'enivrent de tes feuilletons ne trouveront guère

    que la colère et la servitude,mais tous nous sommes acculés

    au champ de bataille des sorciers et des sorcières, ces décapitations,ces castrations

    tout cela a été mis en scène afin de nous clouer àux fièvres

    et pour que nous ne puissions fuir que dans les forteresses.

    Désarmés d'office  il ne  nous reste qu'à passer en spectateurs  entre les bras

    des guerriers qui dégoupillent les grenades du chaos

    Elles labourent le champ où les démons prospèrent

    et où l'humanité se ridiculise de Washington à Port au Prince

    de New Delhi à la Tour Eiffel, de Teheran  à Tokyo, 

    Bagdad et Ninive, Honolulu et Santiago du Chili.

    Tu peins sur tes boucliers des écussons sanctifiés 

    En semant la confusion tu rallies des foules de complices

    Ils imaginent en te servant se protéger de ta fureur

    en fait ils en sont imprégnés jusqu'aux tréfonds de la tête et du coeur.

     

     

    Ah oui par la terreur  tu as réussi ,Babylone ,à diviser les familles

    Elles aboient à l'exemple de tes soudards ivres de malheur

    La vraie splendeur de la nature est dévastée et même les eaux montent

    en raison des fumées de tes songes impurs et de tes gladiateurs.

    Enfin tu t'es créé des ennemis pires que toi même , à ton image pourtant

    de sorte qu'il n'y ait plus le temps de respirer.

    Babylone tu peux le mettre à la poubelle mon poème

    Il surgira de millions d'âmes naufragées après avoir été naufrageuses

    Seul un saut évolutif  de la conscience de chacun

    permettra de donner un sens heureux à l'ex espèce humaine.

     

    Le long de la Volga les serfs tirent avec des cordes les navires de leurs maîtres

    Ils sont menacés de toutes les morts s'ils désertent leurs postes

    et pourtant pour vivre ne serait ce qu'un instant de lumière éternelle

    il faut sevrer l'enfant en soi abreuvé aux tétines de l'enfer

    et perdre cette angoisse plantée comme une lance dans la poitrine

    puisque de toutes façons quoiqu'on proteste on doit subir

    la gifle des tyrans domestiques que sont les bêtes humaines

    et leurs caprices qui dévaste les forêts, asservit les destins au forceps .

     


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  • Il était une fois un arbre qui à chaque nouvelle lune

    donnait deux cent fruits  que venait cueillir

    un ours habile pour sa soeur l'oursonne sa disciple

    qui les portait ensuite aux dirigeants patentés

    d'un grand abattoir vendeur de charges subalternes.

    Mais voilà que la mère des ours aussitôt

    flagellait l'arbre d'un fouet hérissé de couteaux

    qui tailladaient son écorce , son tronc, elle criait

    ''Injuste est l'arbre qui donne 200 fruits à ma fille 

    et n'a pas prévu de me donner davantage,

    est ce que moi j'ai besoin de son ombrage  ?''

    Cependant elle continuait à se protéger des rayons trop brûlants

    quoique  menaçant l'arbre de son fouet  s'il pleurait de l'entendre 

    et le frappant dès qu'il tentait d'expliquer son sort

    et de lever la malédiction  de la surdité.

    La màre ourse  criait : ''De quoi te plains tu, l'arbre ,

    vois mon malheur, voudrais tu empêcher de parler

    et qu'en plus j' arrose tes racines ? Je peux les torturer !''

    La société humaine orchestre toutes sortes de terreurs petites et grandes.

    Certains terrifiés hésitent entre le suicide et le meurtre

    ou encore le suicide des kamikazes qui est un meurtre,

    une façon de se montrer capable de davantage de terreur

    et de dépasser l'exemple donné  par les bandits hypocrites

    arborant des casquettes de bienfaiteurs pour chanter avec leurs complices.

    Les arbres endurent, jusqu'à ce qu'on les abatte.

    Le mauvais coeur de ceux qui stérilisent la plaine

    s'inspire de l'exemple des termites, et non  des fleurs.

    L'hypnose ne suffira pas à perpétuer l'esclavage ;

    on  nous gouverne  avec la douleur, alternée avec le plaisir ;

    c'est là la source du masochisme , pour endurer les pièges.

    Souvent les victimes libérées  sont promptes à endosser la tunique des bourreaux.

    Alors que les coeurs éclairés et conscients migrent où ne rodent

    ni moustiques ni requins , ni même humains  masculins ou féminins

    Adieux couloirs du narcissisme, qui prétendent par orgueil 

    en finir avec le mal prédateur avec un voile visible ou invisible.

    J'ai lu que des sourires tentaient de remédier aux larmes 

    alors peut être l' énigme de cet arbre parviendra

    à regarder de très loin le désespoir de la planète maltraitée

    en contournant le tabou des mots à ne pas prononcer

    sous peine de représailles  encore plus catastrophiques,

     la politique du pire et ses épouvantails 

    faire valoirs des exploiteurs et manipulateurs de toute échelle.

     


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