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Babylone , voilà mon ami comment tu appelles
cette hydre de splendeur trompeuse mortifère et mortelle
ce labyrinthe de béton où sont cloitrés les troupeaux humains
avec ses prêtresses qui ont fait du sexe une arme de conquête
tout comme les mâles faux prophètes champions des bras de fer.
Milliards de femmes et hommes soumis à l'hypnose des richesses vampires.
S'ils se révoltent, c'est que leur part du butin planétaire est trop maigre
Et pour les illusoires colifichets des boutiques la famine gagne du terrain,
le désespoir triomphe à coup de bombes , la terreur
s'est fait un visage souriant, c'est le nouvel ordre du monde
avec ses boucs émissaires dont le regard fait fuir
tant chacun sait qu'il pourra lui même être damné dans la géhenne.
Babylone. 'A hio te mafatu o te maramama , regarde le coeur de la Lumière
Et cesse d'imposer tes livres sacrés à la `paresse des consciences.
Lassitude des rideaux de fer, à l'ombre desquels
même les murmures plaintifs sont taxés de complots terroristes.
La souffrance est une insulte à l'hydre qui dévaste la planète:
où fuir , sinon dans une vraie fraternité qui renverse les idoles
et défait les chaînes des plaisirs et des frustrations.
Mais seul est disponible le simulacre de la préhumanité et de ses incivilités.
Nous avons été ces enfants otages des caprices de leurs géniteurs écervelés
et maintenant nous devrions les intégrer aux angoisses réglementaires ?
Je n'ignore pas qu'il est vain d'envoyer des messages aux robots humains
Ils méprisent tout ce qui n'est pas discours sommaire, caricatural,
pour eux sont bavardages même les témoignages véridiques
Ils ont des prêches pour soigner des blessures avec des mensonges
propos sans fondement qui les ventriloquent
dans la fatalité de leurs propres malheurs.
Babylone, je n'avais pas le coeur de chanter
sous tes bombardements préventifs,
mais quel autre refuge nous laisses tu pour prendre nos distances ?
Tu cadenasses les malentendus , tu brises les amants,
tu fusilles les libertés que tu prétends défendre
tu insinues tes menaces dans la vie quotidienne des enfants
afin qu'ils grandissent sous la forme de serviteurs fanatiques et fidèles.
A eux les récompenses du pouvoir, au compte goutte,
à eux les droits de peser les mots, d'accréditer les superstitions
de trafiquer avec les arguments d'autorité de l'athéisme ou de la religion.
Babylone, aveugle à la matière cosmique , aux trous noirs de la Création
Tu cherches un monde habité au delà de Pluton
ou dans les grottes préhistoriques et pour t'emparer de l'histoire
tu veux contrôler toutes nos actions sauf celles de ta prédation.
Tu as transformé les bêtes sauvages en machines amères
et c'est là l'alpha et l'oméga de ton rêve sur cette Terre.
Ceux qui s'enivrent de tes feuilletons ne trouveront guère
que la colère et la servitude,mais tous nous sommes acculés
au champ de bataille des sorciers et des sorcières, ces décapitations,ces castrations
tout cela a été mis en scène afin de nous clouer àux fièvres
et pour que nous ne puissions fuir que dans les forteresses.
Désarmés d'office il ne nous reste qu'à passer en spectateurs entre les bras
des guerriers qui dégoupillent les grenades du chaos
Elles labourent le champ où les démons prospèrent
et où l'humanité se ridiculise de Washington à Port au Prince
de New Delhi à la Tour Eiffel, de Teheran à Tokyo,
Bagdad et Ninive, Honolulu et Santiago du Chili.
Tu peins sur tes boucliers des écussons sanctifiés
En semant la confusion tu rallies des foules de complices
Ils imaginent en te servant se protéger de ta fureur
en fait ils en sont imprégnés jusqu'aux tréfonds de la tête et du coeur.
Ah oui par la terreur tu as réussi ,Babylone ,à diviser les familles
Elles aboient à l'exemple de tes soudards ivres de malheur
La vraie splendeur de la nature est dévastée et même les eaux montent
en raison des fumées de tes songes impurs et de tes gladiateurs.
Enfin tu t'es créé des ennemis pires que toi même , à ton image pourtant
de sorte qu'il n'y ait plus le temps de respirer.
Babylone tu peux le mettre à la poubelle mon poème
Il surgira de millions d'âmes naufragées après avoir été naufrageuses
Seul un saut évolutif de la conscience de chacun
permettra de donner un sens heureux à l'ex espèce humaine.
Le long de la Volga les serfs tirent avec des cordes les navires de leurs maîtres
Ils sont menacés de toutes les morts s'ils désertent leurs postes
et pourtant pour vivre ne serait ce qu'un instant de lumière éternelle
il faut sevrer l'enfant en soi abreuvé aux tétines de l'enfer
et perdre cette angoisse plantée comme une lance dans la poitrine
puisque de toutes façons quoiqu'on proteste on doit subir
la gifle des tyrans domestiques que sont les bêtes humaines
et leurs caprices qui dévaste les forêts, asservit les destins au forceps .
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Il était une fois un arbre qui à chaque nouvelle lune
donnait deux cent fruits que venait cueillir
un ours habile pour sa soeur l'oursonne sa disciple
qui les portait ensuite aux dirigeants patentés
d'un grand abattoir vendeur de charges subalternes.
Mais voilà que la mère des ours aussitôt
flagellait l'arbre d'un fouet hérissé de couteaux
qui tailladaient son écorce , son tronc, elle criait
''Injuste est l'arbre qui donne 200 fruits à ma fille
et n'a pas prévu de me donner davantage,
est ce que moi j'ai besoin de son ombrage ?''
Cependant elle continuait à se protéger des rayons trop brûlants
quoique menaçant l'arbre de son fouet s'il pleurait de l'entendre
et le frappant dès qu'il tentait d'expliquer son sort
et de lever la malédiction de la surdité.
La màre ourse criait : ''De quoi te plains tu, l'arbre ,
vois mon malheur, voudrais tu empêcher de parler
et qu'en plus j' arrose tes racines ? Je peux les torturer !''
La société humaine orchestre toutes sortes de terreurs petites et grandes.
Certains terrifiés hésitent entre le suicide et le meurtre
ou encore le suicide des kamikazes qui est un meurtre,
une façon de se montrer capable de davantage de terreur
et de dépasser l'exemple donné par les bandits hypocrites
arborant des casquettes de bienfaiteurs pour chanter avec leurs complices.
Les arbres endurent, jusqu'à ce qu'on les abatte.
Le mauvais coeur de ceux qui stérilisent la plaine
s'inspire de l'exemple des termites, et non des fleurs.
L'hypnose ne suffira pas à perpétuer l'esclavage ;
on nous gouverne avec la douleur, alternée avec le plaisir ;
c'est là la source du masochisme , pour endurer les pièges.
Souvent les victimes libérées sont promptes à endosser la tunique des bourreaux.
Alors que les coeurs éclairés et conscients migrent où ne rodent
ni moustiques ni requins , ni même humains masculins ou féminins
Adieux couloirs du narcissisme, qui prétendent par orgueil
en finir avec le mal prédateur avec un voile visible ou invisible.
J'ai lu que des sourires tentaient de remédier aux larmes
alors peut être l' énigme de cet arbre parviendra
à regarder de très loin le désespoir de la planète maltraitée
en contournant le tabou des mots à ne pas prononcer
sous peine de représailles encore plus catastrophiques,
la politique du pire et ses épouvantails
faire valoirs des exploiteurs et manipulateurs de toute échelle.
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opus 1129 (version du 21 Juin 2015 )
*
Je sais depuis longtemps ce qu'ils pensent
de tout ce qui pour moi fait sens
et me ressuscite ; ça les endort.
Apparemment je suis d'une autre planète
Helas pour survivre je dois rendre des comptes
aux zombies de la termitière
et à leurs dieux bureaucrates ou esclavagistes,
ils orchestrent notre ruine
et celle de la Terre .
C'est clair mon existence n'est même pas pour eux
une hypothèse.
Je dois fournir des preuves à des robots
en panne les trois quarts du temps.
Ils obéissent aux ordres
et à la publicité.
Tant de lois violées par leurs orchestrateurs
juste utile à accroître la confusion
pour leur donner des airs de défenseurs du peuple
et des initiatives
qu'ils assassinent, baillonnent, interdisent
quotidiennement
au rythme des jets et des embouteillages ...
Du coup je fais le mort
pour éviter les représailles
et j'observe vivant leurs parades
et je vois bien qu'ils ont du succès
ils sont puissants, nombreux, plébiscités,
les bruiteurs en tous genres, mais
je ne parviens toujours pas à saisir
ce qui les motive dans leurs danses macabres
et leurs musiques de châsse d'eau...
Ah si ! .... selon eux c'est l'Energie, sur 4 minutes de show...
car sur mille ans ce serait de la lenteur
Et puis c'est quoi un Etat terroriste ?
Un Etat qui sème la terreur chez les uns
pour rassurer les peurs des autres,
bref c'est une société protectrice, civilisée
voire religieuse où on se congratule
et un enfer pour les minorités.
Et il y a pas mal de concurrence dans les enfers programmés.
Du coup les moins barbares des exploiteurs
attirent les persécutés
entraînés à recevoir des coups plus féroces
et qui peut-être savourent même
les insultes à leur dignité
Ca les change de pires tortures
et leur apprend l'humilité
voire à imiter
l'orgueil des vampires rusés..
Dans tous les domaines les experts sont légion
L'un d'eux assure à la télévision
que le yoga vient de la religion hindoue...
autant dire que le carré de l'hypoténuse
puise sa source dans le culte de Zeus.
Ou que le soleil n'a aucune existence
en l'absence d'un regard humain.
Ce qu'ils appellent l'énergie
c'est l'épuisement des ressources
personnelles et collectives
pour des instants de frime...
Polémiquer semble inutile
ils prennent plaisir à vivre ainsi ...
un cri peut être est maïeutique.
Moeurs à l'envers du tetragrammaton...
Je n'ignore pas le scepticisme
qu'inspirent mes respirations
et tromperie,calomnie , traîtrise
m'ont découragé d'expliquer davantage
ma méthode, elle tente seulement désormais
de me fournir un contre-poison provisoire
le temps pour mon âme de passer
sur cette planète étrangère
Et pourtant je salue ceux frères et soeurs
dont la danse est accueillante
et la musique tranquille
Salut aussi aux résistants
ainsi qu'à ceux brisés par l'absurde ....
Les ascètes survivent sans prétention
ils sont de plus savants papillons
que les économistes de l'addiction.
Dominique Oriata TRON
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opus 1130
( version du 2 Août 2015 )
*
Désolé si je me répète ....
Oui ces paroles sont publiques
mais qui les lit en cette année 2015 ?
Personne, ou presque personne.
Surtout si je ne les affiche pas sur un réseau social...
Tellement les malentendus sont systématiques
dès que je prends la parole ou que je tente de communiquer par écrit.
Donc, si quelqu'un me lit ces temps ci
c'est un chercheur ayant suivi ma piste sur internet
et le voilà qui m'observe dans l'atelier de mon mental.
Je ne l'ai pas invité, mais je n'ai pas voulu me cacher.
Mes peintures sont joie, je tatoue mon environnement
je tatoue mes émotions, je perpétue la félicité
même au sein des épreuves.
Mais quand j'écris , que ça ne soit pas dans cette direction.
Que mes mots ne soient pas d'une couleur mensongère
sur les épées rouillées et les blessures ....
Car ce serait nier la véridicité des épreuves
ce serait nier les cruxificions chroniques de tant d'êtres humains.
Je ne veux pas m'aveugler, étant moi-même en recherche,
je dois sans cesse reinstaller les équations de mes témoignages
sur l'écran de mon ordinateur, cherchant à les résoudre
et je tâtonne, je me répète, mon but n'est pas de plaire ...
Au fond avec ces mots je suis seul comme avec ma guitare
parce qu'elle peut être jouée en sourdine, contrairement à ma flûte
et dans cette solitude , je pèse mes mots, en dépit de leur relativité
je les observe et me défie de l'hypnose historique.
Mes mots ne sont pas seulement des sons.
Avec les sons et les rythmes, je change de planète, j'accède aux galaxies
mais avec les mots, puis je nier être empêtré
dans l'arnaque de la condition humaine,
pris dans le filet d'une termitière et de ses chaînes ataviques ...
Pour que mon ânme soit libre, il ne suffit pas qu'elle chante
et contemple la perfection des équilibres,
il faut aussi qu'elle porte témoignage
sur les coups bas des égos incarnés et de leurs patries,
de leurs cultes, leurs sacrifices anthropophages !
J'ai vécu dans plusieurs contrées , j'ai observé
comment j'ai été calomnié par des escrocs,
ils étaient organisés en propriétaires culturels.
En résumé , en Inde comme en Afrique
certains, me prenant pour milliardaire
ont prétendu que j'avais trahi des promesses
que je n'avais pas faites.
Pour me dépouiller ils ont prétendu que je les avais volés
Je suppose qu'ils s'en sont pris à moi parce que j'avais été serviable et généreux
car ils rampent devant les insensibles , et sont de véritables exploiteurs eux mêmes.
Ils m'ont montré comment d'un paradis on fabrique un enfer
et je me suis échappé, par le miracle de l'ascèse.
Au fil du temps , leurs calomnies ont paru vérités établies à leurs enfants.
Puis j'ai vu aussi ce qui se passait dans ma famille et avec plusieurs compagnes
C'est comme si dormait en chaque être humain un instinct totalitaire
qui ne dépend qu'en apparence de ses croyances religieuses ou politiques.
Il s'agit plutôt de l'égo prédateur, oui , je me répète.
en dépit de toutes les ostentations cet égo aveuglé-aveuglant refait surface
quand vient la spoliation, la trahison, la calomnie.
en récompense des dons et de la fidélité.
Les croyances et l'unanimisme tribal servent à inverser les culpabilités
c'est à dire à innocenter les responsables des crimes et des mensonges
et à condamner leurs victimes.
Du coup, pour éviter les procès mais ne pas capituler
je me contente de témoigner sporadiquement
dans les recoins du net où presque personne n'ira fouiller.
Mais même exposés sur les murs mes propos
n'arrêteraient que les regards des surveillants ...
Oui il y aurait de quoi en faire des thèses , mais ce serait inutile
car il existe une haine de la vérité même chez beaucoup d' amis et dans la famille
et donc pour ne pas être accusé de faux témoignage je reste discret,
je ne tiens pas à être en plus mis au ban de la société.
Je n'ai aucune illusion sur les instincts latents de la bête humaine
et j'oeuvre dans l'amour, c'est la seule voie.
Pourtant cela ne doit pas contraindre à renoncer
à la véridicité, à ce que j'ai constaté, même si c'est unanimement zappé
tant la levée des voiles dévaluerait les fortunes usurpées
et les autorités esclavagistes et les adaptateurs sado-masochistes.
Au fond si je suis retourné vivre en Polynésie actuellement
ce n'est pas que je considére comme étant idéales les moeurs des maohis
même si dans leurs chants et danses, ils me paraissent à l'unisson de mes élans,
de la joie de mes peintures, quoiqu' avec d'autres connivences....
Je sais faire la différence entre les identités affichées et celles de la vie quotidienne.
Je sais faire aussi la différence entre le vomi urbain des modes internationales
et le folklore qui adoucit les jours alors que l'industrie culturelle les empire.
Ce qui m'a fait revenir vivre à Moorea, c'est de m'être souvenu
que pendant les 22 ans où j'y avais précédemment vécu
il m'avait été possible d'échapper aux rackets chronique d'Asie et d'Afrique
et aux asphyxies arrogantes de la termitière occidentale...
En bref , que je m'intègre ou non à leurs églises
les maohis m'ont salué en souriant , sans m'assiéger
ou d'assez loin, sans me faire une guerre radicale et sournoise au vu de mes différences
et je ne me suis pas senti étranger comme dans tous les autres pays
que j'ai pourtant aimés , mais leurs mise en scène
m'ont acculé à la suffocation, et à la démonstration de l'injustice
et je ne parle pas seulement des lois aveugles cachées derriere les drapeaux des principes
mais d'individus que j'ai secourus, qui m'ont rendu le mal pour le bien,
et qui m'ont trompé quoique souvent inconsciemment
ce qui me fait dire que le mal est dans l'homo pseudo sapiens comme un vers dans le fruit;
l'espèce humaine a trop souvent tendance à mettre les lumières de la connaissance
au service de ses instincts prédateurs
et c'est cela qui rend la vie encore plus difficiles aux nouveaux nés
en dépit des progrés qui auraient pu les libérer...
Mais non, la manipulation et l'hypnose restent chroniques.
Quand la bête inconsciente mord la main qui la nourrit
où est la solution ? Dans l'éducation ? dans la servitude ?
Certes il faut trouver la pédagogie sans pour autant
s'inquiéter que se retournent contre eux
le mauvais sort des naufrageurs
eux qui abusent des contrats
et qui font de la confiance un piège....
Y a-t-il un remède aux aveuglements têtus ?
Je dois me défaire de la tunique cannibale
qui a été jetée sur mes épaules par des faux témoins,
par de faux héritiers des civilisations réduites à la grégarité.
Je reviendrai sur ce thème pour le creuser encore.
J'ai l'impression de ne trouver d'écoute qu'en Dieu
et seulement des malentendus avec ses croyants o
u les athées qui ont eux aussi leurs idoles et addictions.
Et pourtant officiellement tous partagent les mêmes principes éthiques que moi-même.
Alors qu'est ce qui fait que les coeurs humains soient si ingrats et injustes
et truquent la véridicité des faits sans s'en apercevoir ?
Serait ce la condition animale de l'être humain ?
L'embellissement tantrique de la vie quotidienne ne serait qu'un placébo ?
Un placebo certes capable d'ouvrir les yeux sur la beauté du monde ...
Mais il y aurait une erreur, cette incarnation d'ongles et de dents
et donc il faut vivre l'illumination perpétuelle de la Conscience Divine
tout en portant la croix des trafiquants de religions et d'idéologies
appliqués à la merchandisation mortifère du monde.
Je retourne maintenant dans le refuge de mon corps de Lumière,
les yeux tournés vers le dedans , le dehors semblant une équation insoluble .
Il est peut être illusoire , mais davantage illusoire est le chantage de la termitière.
Dominique Oriata TRON
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